Grand Prix 2003 de Littérature Policière |
Sélectionné pour le Prix littéraire de la ville de Caen |
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Le choix du Cercle du Polar de France-Loisirs |
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"Qui se douterait que L'ivresse des dieux est un premier roman
? Haletant, maîtrisé de bout en bout, Laurent Martin signe
ici une réussite absolue qui le place d'emblée dans le cercle
des grands du polar. Lien Cercle du Polar |
CRITIQUES EXPRESS |
« L'ivresse des dieux, c'est un roman très original
par sa construction narrative.» « Phrases courtes, dialogues qui sonnent juste, ton
sec et humour sombre, Laurent Martin dresse un état des lieux sans concession
de la vie dans les cités tout en déroulant son intrigue, s'inscrivant
ainsi dans la tradition du polar français de ces vingt dernières années
qui mêle volontiers engagement social, politique et univers noir » « Rapidement, on tombe sous le charme d’une écriture finement
ciselée et on se passionne pour cette chronique d’une banlieue
ordinaire rongée par l’indifférence et l’individualisme.
» « Un bon roman que nous vous conseillons » « Style brillant » « Laurent Martin fait, déjà, ses preuves d’écrivain (de qualité) dans
ce premier roman » « Polar sombre et ironique » « Une bonne entrée en polar, avec des personnages et des situations
fouillés » « Son originalité, c'est sa structure, une tragédie
antique dans un monde contemporain » |
« Et si l’assassin finit par être démasqué, le voyage au coeur de la
cité déshéritée continue à hanter le lecteur » « Un livre étonnant » « Pour son premier roman, Laurent Martin entre directement chez Gallimard
» « Ce polar haletant ne vous lâchera plus » « Pour une première fois c'est un coup de maître » « Les personnages sont chaque fois bien vus, loin des clichés » « Trois regards se portent sur l'aventure et c'est ce qui fait une
partie de son originalité » « L'ivresse des dieux est de bonne facture. Intrigue bien menée, personnages
travaillés, ville décrites dans toute sa tristesse... » « C’est bien écrit. Comment ne pas tirer son chapeau
à ce : « Je me souviens vaguement de quelques cauchemars pleins de carnavals
tristes et de chagrins radieux ». Belle manière de revenir sur terre
un lendemain de beuverie. J’ai aimé» « Un petit régal à lire » |
LES MEDIAS EN PARLENT |
FRANCE INTER - Février 2003"Il s'agit là d'une intrigue assez classique
mais ce qui fait la force et je dirai même l'originalité
de ce roman c'est que comme dans tous les romans l'histoire est un
prétexte pour plonger le lecteur dans un univers et celui que
vous nous offrez est l'intimité de la vie d'une cité
de banlieue parisienne puisque l'action se déroule dans Marne-la-Vallée
et ici c'est la "lèpre urbaine". Eric Yung LIVRE/ECHANGE N°18 - Février 2002[ ] Phrases courtes, dialogues qui sonnent juste, ton sec et humour sombre, Laurent Martin dresse un état des lieux sans concession de la vie dans les cités tout en déroulant son intrigue, s'inscrivant ainsi dans la tradition du polar français de ces vingt dernières années qui mêle volontiers engagement social, politique et univers noir. Mais la grande originalité de L'ivresse des dieux réside dans la distribution de la narration : le Héros (Ripolini), le Chœur et le Coryphée ont tour à tour la parole, au cours de brèves séquences qui s'organisent selon la structure classique d'une tragédie. Ce qui permet à l'auteur de conférer à son récit une dimension universelle, mythique et ironique à la fois, et de dynamiser la narration en alternant les points de vue."Voilà deux mille cinq cents ans que les Grecs ont inventé la tragédie, la cité et l'enfer. Deux mille cinq cents ans qu'on vit avec et que rien n'a vraiment changé", prévient l'auteur dans sa note liminaire. Il semble bien, en effet, que les dieux aient encore soif de sacrifices. Dominique Nédellec LE NOUVEL OBSERVATEUR - Avril 2002Un monde de (béton) brutHorreur à Marne-la-Vallée : un serial killer étrangle,
viole et défigure des jeunes femmes célibataires, rencontres de hasard,
qu’il assassine chez elles ou dans les parcs publics. Une de ses victimes
est l’ex-compagne de Max Ripolini, un policier municipal désabusé,
qui noie son vague à l’âme dans des litres de whisky. Max part aux
trousses du meurtrier. Eric Lamien LE PARISIEN - Mars 2002Roman - Marne-la-Vallée décor d'un polarPour son premier roman, Laurent Martin entre directement chez Gallimard, dans la collection Série noire. Cet ancien habitant de Torcy, aujourd'hui enseignant en Normandie, s'est inspiré du Val-Maubuée, en toile de fond de son livre, L'ivresse des dieux. Marne-la Vallée est décrite comme une ville à part entière, dirigée par un maire de centre mou, opportuniste et frileux, quand il s'agit de prendre des risques. L'intrigue se noue autour d'un tueur en série qui défigure ses victimes. Mais elle n'est qu'un prétexte pour évoquer la condition humaine, de manière originale. L'histoire est racontée par trois personnages et s'inspire de la tragédie grecque. Le héros est un policier municipal désoeuvré et solitaire. Au fil des pages, l'écrivain sème des références à la ville nouvelle. [ ] V.R. LIVRENPOCHE.COM - Mars 2002Ce que nous en pensons : Tout d'abord désarconné par ces passages entre le
héros, le coryphée et le choeur, parfois dérouté par la présentation
de personnages dont on apprend beaucoup plus tard leur rôle dans l'histoire,
on se laisse emporter par l'histoire et par la descente de son héros. Notre note : 4/5 OPTION - Novembre 2002Publié avant l’été, cet excellent roman vient de se voir attribuer le Grand Prix de littérature policière, une distinction qui nous réjouit doublement car le récipiendaire, professeur dans un lycée professionnel, est un lecteur de la revue Options. Son héros, Max, âgé de trente-six ans, dont sept passés dans la police municipale de Marne la vallée, noie sa tristesse dans l’alcool depuis qu’il vit séparé de son épouse Christiane. Mais lorsque celle-ci est assassinée par un serial killer, Max, toujours accompagné du chien Médor, va traquer le tueur. Ce récit pourra surprendre le lecteur durant quelques minutes par sa construction de façon singulière, à la manière d’une tragédie grecque. Mais rapidement, on tombe sous le charme d’une écriture finement ciselée et on se passionne pour cette chronique d’une banlieue ordinaire rongée par l’indifférence et l’individualisme. Un sombre constat qui néanmoins se termine sur une note optimiste. Claude Mesplède RADIO-LIBERTAIRE - Mai 2002Un livre étonnant. C'est un polar, mais un polar écrit comme une tragédie grecque. [ ] Je trouve ça génial. Ce livre est écrit comme une tragédie grecque avec Marne-la-Vallée comme personnage principale, ça fonctionne vachement bien et c'est ça qui est fascinant au niveau de la construction romanesque, ça colle parfaitement au polar. Alexandrine Halliez FRANCE 3 NORMANDIE - Juin 2002Un petit régal à lire. Une narration étonante pour le genre policier. [ ] C'est troublant, mais lorsque qu'on rentre dedans c'est vraiment intéressant, ça donne une nouvelle dimension au genre. Ch.Guyomard FRANCE-BLEU - Mai 2002Pour une première fois, c'est un coup de maître. Un roman noir qui raconte le désespoir d'un policier municipal d'une façon très originale PLAYBOY - Avril 2002Un polar construit comme une tragédie grecque, premier roman d'un auteur prof de letrres. Il met aux prises, dans le décors navrant de Marne-la-Vallée, un Sérial-Killer bien tordu avec les policiers chargés de l'arrêter. Style brillant. LE MATIN (Suisse) - Fevrier 2002AMERE CITE [ ]Laurent MARTIN nous livre un polar (c'est son premier) qui ne laisse aucun espoir de rédemption. Construit comme une tragédie grecque avec choeur, coryphée et un héros poursuivi par la guigne, le livre s'achève dans le désenchantement. Si vous avez des envies de suicide, il faut passer votre chemin. Sinon, ce polar haletant ne vous lâchera plus. J.-P.Gat. PERSPECTIVE - Mars 2002Un tueur en série sévit dans la ville inhumaine de
Marne-la-Vallée. Il s'attaque à des femmes qu'il étrangle, viole et
dont il détruit le visage avec ce qui lui tombe sous la main. L'une
des victime était l'ex-femme de Max Ripolini. Ce policier municipal,
ancien des beaux-arts [ ], fait son travail avec humanité. Il débute
sa propre enquête.[ ] LA TÊTE EN NOIR - Avril/mai 2002L'ivresse des dieux est le premier roman de Laurent Martin. Construit sous forme de tragédie (pourquoi pas ?), c'est une bonne entrée en polar, avc des personnages et des situations fouillées. On attend le secont pour vérifier le talent de l'auteur. L'EVEIL - Mars 2002Tragédie pour cité nouvelleLes tragédies ressemblent parfois à de vrais polars.
Laurent Martin, écrivain augeron, a choisi d'écrire un polar situé
à Marne-Ia-Vallée, dans le style d'une tragédie, aussi rouge sang,
aussi noire mais avec l'ajout de la grisaille de certaines villes
nouvelles. Y.M L'OURS POLAR - Avril 2002[ ] L'ivresse des dieux est de bonne facture. Intrigue bien menée, personnages travaillés, ville décrites dans toute sa tristesse... C'est donc prometteur pour Laurent Martin... Il ne lui reste plus qu'à confirmer son talent Dans l'OURS POLAR, également une interview. Pour trouver cette revue : contact@ours-polar.com ROMANPOLICIER.COM - Mars 2002Intéressante la forme, à la manière de la tragédie grecque, qui permet
l’installation du thème et la lente progression vers la crise et sa
résolution. J’aime assez le Héros, le Chœur, le Coryphée qui donne
une bonne scansion à l’intrigue et un rythme soutenu. VAL-MAGAZINE - Printemps 2002Le roman noir d'une Marne-la-Vallée fictive...Polar sombre et ironique.[ ] L'ivresse des dieux
est une galerie de portrait où tout le monde se croise sans se voir
[ ] et l'auteur, citoyen du Val-Maubué pendant 15 ans et aujourd'hui
enseignant en Normandie, nous rappelle que la tragédie individuelle
se perpetue chez l'homme depuis le nuit des temps. OUEST-FRANCE - Février 2002Les éditions Gallimard viennent de publier son premier roman, un policier, "L'ivresse des dieux ", construit sur le schéma d'une tragédie grecque. [...] Le héros (Max Ripolini), est un policier municipal intéressé par les arts. Même s'il s'agit d'un travail alimentaire, ce divorcé croit à son rôle social, bien que désabusé par le cadre désespérant de sa ville, une ville nouvelle fictive. Il vit avec son chien (que le narrateur fait penser, il a un rôle central). Sa bouée de sauvetage sera la résolution du crime de son ex-femme (premier d'une série), violée et assassinée, alors que cela ne fait pas partie de ses compétences professionnelles. [...] L'ivresse des dieux est un polar noir un peu tragique. Son originalité, c'est sa structure, une tragédie antique dans un monde contemporain. Il y a trois niveaux de narration: le héros, le coryphée, le choeur. L'alternance de ces différents intervenants rythme le récit écrit par un même auteur. Chaque paragraphe a un ton différent. Les dieux jouent-ils avec les hommes ? Le cadre est un Marne-la-Vallée, ville nouvelle, fictif. Ces cités modernes déshumanisent, le héros combat contre un monde. [...] Outre d'autres travaux, la suite de " l'ivresse des dieux " est en cours de rédaction. MAUVAISGENRES.COM - Février 2002Ce roman « de Marne la vallée » comme le « vend » l’Editeur est une
particularité du genre. En effet il est construit comme une tragédie
Grecque, le « déroulement »est rapporté tour à tour par le Héros,
le Chœur et le Choryphée (personnage qui s’extrait du chœur et commente
l’action). Ces trois points de vues densifient l’histoire de Max l’Ilotier
de la police municipale de Marne la Vallée. Un meurtrier cumule les
crimes dans la ville jusqu’au jour ou c’est l’ex-copine de Max qui
est retrouvée morte. Celui-ci, malgré son alcoolisme qui l’amène même
à renverser des piétons, prends à cœur l’enquête. Arnaud Servant Difficile de ne pas faire le rapprochement avec Franconville : même
époque, même cadre : une banlieue qui ne brûle pas, dont on ne parle
jamais aux infos, et où on s'emmerde en silence. Une banlieue quand
même petit à petit rongée par une lèpre comme dit Laurent Martin,
lèpre de l'indifférence, de l'individualisme, du repli sur soi, de
la médiocrité, du manque de passion ou d'intérêt pour quoi que ce
soit, si ce n'est le fric, et encore. Comme Franconville. J-Marc Laherrère. |
SUR LE WEB
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France-Inter / Philanthropolar / Eric Yung : ! La dédicace de France-Inter. Une page de présentation mise au net par mauvaisgenres.com, le site du roman policier et de la science fiction en bibliothèque ainsi que les critiques rédigées sur L'ivresse des dieux. Un autoportrait mis au net par romanpolicier.com, le site du polar francophone. |
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