L'ivresse des dieux

Un roman noir publié aux éditions Gallimard Série Noire


Grand Prix 2003 de Littérature Policière
Sélectionné pour le Prix littéraire de la ville de Caen
ttt

 

Le choix du Cercle du Polar de France-Loisirs

"Qui se douterait que L'ivresse des dieux est un premier roman ? Haletant, maîtrisé de bout en bout, Laurent Martin signe ici une réussite absolue qui le place d'emblée dans le cercle des grands du polar.
Couronné du Grand prix de la littérature policière 2003, ce roman noir à la française nous entraîne sur les traces d'un policier municipal, laminé par l'alcool et 36 ans d'une vie minable passée dans une ville nouvelle dépourvue d'âme. Ce paumé décide tout-à-coup de faire la chasse au psychopathe, pour la très bonne raison que celui-là a assassiné son ex…"

Lien Cercle du Polar

 

CRITIQUES EXPRESS

« L'ivresse des dieux, c'est un roman très original par sa construction narrative.»
FRANCE-INTER

« Phrases courtes, dialogues qui sonnent juste, ton sec et humour sombre, Laurent Martin dresse un état des lieux sans concession de la vie dans les cités tout en déroulant son intrigue, s'inscrivant ainsi dans la tradition du polar français de ces vingt dernières années qui mêle volontiers engagement social, politique et univers noir »
LIVRE-ECHANGE

« Rapidement, on tombe sous le charme d’une écriture finement ciselée et on se passionne pour cette chronique d’une banlieue ordinaire rongée par l’indifférence et l’individualisme. »
OPTION

« Un bon roman que nous vous conseillons »
LIVRENPOCHE.COM

« Style brillant »
PLAYBOY

« Laurent Martin fait, déjà, ses preuves d’écrivain (de qualité) dans ce premier roman »
MAUVAISGENRES.COM

« Polar sombre et ironique »
VAL-MAGAZINE

« Une bonne entrée en polar, avec des personnages et des situations fouillés »
LA TÊTE EN NOIR

« Son originalité, c'est sa structure, une tragédie antique dans un monde contemporain »
OUEST-FRANCE

« Et si l’assassin finit par être démasqué, le voyage au coeur de la cité déshéritée continue à hanter le lecteur »
LE NOUVEL OBSERVATEUR

« Un livre étonnant »
RADIO-LIBERTAIRE

« Pour son premier roman, Laurent Martin entre directement chez Gallimard »
LE PARISIEN

« Ce polar haletant ne vous lâchera plus »
LE MATIN (Suisse)

« Pour une première fois c'est un coup de maître »
FRANCE-BLEU

« Les personnages sont chaque fois bien vus, loin des clichés »
PERSPECTIVE

« Trois regards se portent sur l'aventure et c'est ce qui fait une partie de son originalité »
L’EVEIL

« L'ivresse des dieux est de bonne facture. Intrigue bien menée, personnages travaillés, ville décrites dans toute sa tristesse... »
L’OURS POLAR

« C’est bien écrit. Comment ne pas tirer son chapeau à ce : « Je me souviens vaguement de quelques cauchemars pleins de carnavals tristes et de chagrins radieux ». Belle manière de revenir sur terre un lendemain de beuverie. J’ai aimé»
ROMANPOLICIER.COM

« Un petit régal à lire »
FRANCE 3 NORMANDIE

 

 

LES MEDIAS EN PARLENT

FRANCE INTER - Février 2003

"Il s'agit là d'une intrigue assez classique mais ce qui fait la force et je dirai même l'originalité de ce roman c'est que comme dans tous les romans l'histoire est un prétexte pour plonger le lecteur dans un univers et celui que vous nous offrez est l'intimité de la vie d'une cité de banlieue parisienne puisque l'action se déroule dans Marne-la-Vallée et ici c'est la "lèpre urbaine".
Le décors sert le récit et vous l'utilisez assez savamment pour placer différents personnages qui vont de ceux d'une communauté chinoise à ceux de bandes de zonards en passant par des malfrats tenanciers de bordels clandestins jusqu'aux hommes politiques [ ]
L'ivresse des dieux, c'est un roman très original par sa construction narrative. Construit avec beaucoup de rigueur, ce qui surprend le lecteur aussi c'est cette manière d'aborder, de regarder les actions et aussi de toiser d'une certaine façon l'ambiance de la cité, de la subir aussi, et peut-être, et c'est de mon point de vue une réussite, les personnages, le décors, l'environnement tout entier de cette espace qu'est la supposée ville de Marne-la-Vallée."

Eric Yung


LIVRE/ECHANGE N°18 - Février 2002

[ ] Phrases courtes, dialogues qui sonnent juste, ton sec et humour sombre, Laurent Martin dresse un état des lieux sans concession de la vie dans les cités tout en déroulant son intrigue, s'inscrivant ainsi dans la tradition du polar français de ces vingt dernières années qui mêle volontiers engagement social, politique et univers noir. Mais la grande originalité de L'ivresse des dieux réside dans la distribution de la narration : le Héros (Ripolini), le Chœur et le Coryphée ont tour à tour la parole, au cours de brèves séquences qui s'organisent selon la structure classique d'une tragédie. Ce qui permet à l'auteur de conférer à son récit une dimension universelle, mythique et ironique à la fois, et de dynamiser la narration en alternant les points de vue."Voilà deux mille cinq cents ans que les Grecs ont inventé la tragédie, la cité et l'enfer. Deux mille cinq cents ans qu'on vit avec et que rien n'a vraiment changé", prévient l'auteur dans sa note liminaire. Il semble bien, en effet, que les dieux aient encore soif de sacrifices.

Dominique Nédellec


LE NOUVEL OBSERVATEUR - Avril 2002

Un monde de (béton) brut

Horreur à Marne-la-Vallée : un serial killer étrangle, viole et défigure des jeunes femmes célibataires, rencontres de hasard, qu’il assassine chez elles ou dans les parcs publics. Une de ses victimes est l’ex-compagne de Max Ripolini, un policier municipal désabusé, qui noie son vague à l’âme dans des litres de whisky. Max part aux trousses du meurtrier.
Sur cette intrigue classique, Laurent Martin, pour son premier polar, élabore un récit sur le modèle de la tragédie grecque: à la narration du héros (Max) s’oppose le point du vue du chœur (la ville et ses habitants). Marne-la-Vallée, dans l’outrance de son chaos urbain, est plus qu’un décor de roman noir, elle accompagne les crimes, voire les favorise. Dans ses virées, Max est le témoin de cette «lèpre urbaine», de cette «maladie du béton brut et sans âme» qui anéantit toute vie sociale. Règlements de compte dans la communauté chinoise immigrée, bordels clandestins, bandes de sauvageons qui tuent le temps, rodomontades du maire (personnage de fiction, puisque la ville nouvelle regroupe vingt-six communes): rien ne manque au procès que dresse le romancier contre les responsables – politiques et architectes – de cette «malveillance» que fut l’édification de Marne-la-Vallée. Et si l’assassin finit par être démasqué, le voyage au cœur de la cité déshéritée continue à hanter le lecteur.

Eric Lamien


LE PARISIEN - Mars 2002

Roman - Marne-la-Vallée décor d'un polar

Pour son premier roman, Laurent Martin entre directement chez Gallimard, dans la collection Série noire. Cet ancien habitant de Torcy, aujourd'hui enseignant en Normandie, s'est inspiré du Val-Maubuée, en toile de fond de son livre, L'ivresse des dieux. Marne-la Vallée est décrite comme une ville à part entière, dirigée par un maire de centre mou, opportuniste et frileux, quand il s'agit de prendre des risques. L'intrigue se noue autour d'un tueur en série qui défigure ses victimes. Mais elle n'est qu'un prétexte pour évoquer la condition humaine, de manière originale. L'histoire est racontée par trois personnages et s'inspire de la tragédie grecque. Le héros est un policier municipal désoeuvré et solitaire. Au fil des pages, l'écrivain sème des références à la ville nouvelle. [ ]

V.R.


LIVRENPOCHE.COM - Mars 2002

Ce que nous en pensons :

Tout d'abord désarconné par ces passages entre le héros, le coryphée et le choeur, parfois dérouté par la présentation de personnages dont on apprend beaucoup plus tard leur rôle dans l'histoire, on se laisse emporter par l'histoire et par la descente de son héros.
Une vision noire des cités nouvelles, des personnages véritables (qu'on pourrait croiser dans nos rues).
Un bon roman que nous vous conseillons

Notre note : 4/5


OPTION - Novembre 2002

Publié avant l’été, cet excellent roman vient de se voir attribuer le Grand Prix de littérature policière, une distinction qui nous réjouit doublement car le récipiendaire, professeur dans un lycée professionnel, est un lecteur de la revue Options. Son héros, Max, âgé de trente-six ans, dont sept passés dans la police municipale de Marne la vallée, noie sa tristesse dans l’alcool depuis qu’il vit séparé de son épouse Christiane. Mais lorsque celle-ci est assassinée par un serial killer, Max, toujours accompagné du chien Médor, va traquer le tueur. Ce récit pourra surprendre le lecteur durant quelques minutes par sa construction de façon singulière, à la manière d’une tragédie grecque. Mais rapidement, on tombe sous le charme d’une écriture finement ciselée et on se passionne pour cette chronique d’une banlieue ordinaire rongée par l’indifférence et l’individualisme. Un sombre constat qui néanmoins se termine sur une note optimiste.

Claude Mesplède


RADIO-LIBERTAIRE - Mai 2002

Un livre étonnant. C'est un polar, mais un polar écrit comme une tragédie grecque. [ ] Je trouve ça génial. Ce livre est écrit comme une tragédie grecque avec Marne-la-Vallée comme personnage principale, ça fonctionne vachement bien et c'est ça qui est fascinant au niveau de la construction romanesque, ça colle parfaitement au polar.

Alexandrine Halliez


FRANCE 3 NORMANDIE - Juin 2002

Un petit régal à lire. Une narration étonante pour le genre policier. [ ] C'est troublant, mais lorsque qu'on rentre dedans c'est vraiment intéressant, ça donne une nouvelle dimension au genre.

Ch.Guyomard


FRANCE-BLEU - Mai 2002

Pour une première fois, c'est un coup de maître. Un roman noir qui raconte le désespoir d'un policier municipal d'une façon très originale


PLAYBOY - Avril 2002

Un polar construit comme une tragédie grecque, premier roman d'un auteur prof de letrres. Il met aux prises, dans le décors navrant de Marne-la-Vallée, un Sérial-Killer bien tordu avec les policiers chargés de l'arrêter. Style brillant.


LE MATIN (Suisse) - Fevrier 2002

AMERE CITE

[ ]Laurent MARTIN nous livre un polar (c'est son premier) qui ne laisse aucun espoir de rédemption. Construit comme une tragédie grecque avec choeur, coryphée et un héros poursuivi par la guigne, le livre s'achève dans le désenchantement. Si vous avez des envies de suicide, il faut passer votre chemin. Sinon, ce polar haletant ne vous lâchera plus.

J.-P.Gat.


PERSPECTIVE - Mars 2002

Un tueur en série sévit dans la ville inhumaine de Marne-la-Vallée. Il s'attaque à des femmes qu'il étrangle, viole et dont il détruit le visage avec ce qui lui tombe sous la main. L'une des victime était l'ex-femme de Max Ripolini. Ce policier municipal, ancien des beaux-arts [ ], fait son travail avec humanité. Il débute sa propre enquête.[ ]
L'auteur met la cité, la ville nouvelle en accusation. Il choisit une forme narrative en référence à la tragédie traditionnelle grecque (le choeur, le coryphée, le héros...). Une telle originalité permet de varier les focalisations et d'ajouter un côté théâtral à l'ensemble qui fonctionne assez bien avec l'impression d'oralité émanat du texte.[ ]
Les personnages sont chaque fois bien vus, loin des clichés et la multitude des faits divers et des vies racontés en fait un roman riche et simple en dépit de son originalité.


LA TÊTE EN NOIR - Avril/mai 2002

L'ivresse des dieux est le premier roman de Laurent Martin. Construit sous forme de tragédie (pourquoi pas ?), c'est une bonne entrée en polar, avc des personnages et des situations fouillées. On attend le secont pour vérifier le talent de l'auteur.


L'EVEIL - Mars 2002

Tragédie pour cité nouvelle

Les tragédies ressemblent parfois à de vrais polars. Laurent Martin, écrivain augeron, a choisi d'écrire un polar situé à Marne-Ia-Vallée, dans le style d'une tragédie, aussi rouge sang, aussi noire mais avec l'ajout de la grisaille de certaines villes nouvelles.
[ ] Ici le héros, Max Ripolini, est un policier municipal de Marne-La-Vallée. Un policier municipal mélancoliquement, dépressif, qui vit seul avec son chien. [ ].Comme si la vie en cité nouvelle comme policier municipal "porté" sur l'alcool ne suffisait pas à faire son malheur, on lui assassine son ex-femme. Ex certes mais femme tout de même, Max se persuade qu'il doit faire quelque chose. Il sent même du fond de son coaltar que cette quête du coupable pourrait le hisser, lui sortir la tête hors de l'eau grise de son cafard. Quand le meurtrier récidive en tuant de nouveau "sauvagement", défigurant une nouvelle victime, Max plonge dans l'enquête ce qui est mieux convenons-en que dans l'alcool ou la déprime...
Ici cela est basiquement raconté sous un seul point de vue mais dans le livre, trois regards se portent sur l'aventure et c'est ce qui fait une partie de son originalité. Une particularité qui a fait aussitôt séduit les éditeurs qui ont vu dans L'Ivresse des Dieux, un premier roman explorant une voix nouvelle dans le polar.

Y.M


L'OURS POLAR - Avril 2002

[ ] L'ivresse des dieux est de bonne facture. Intrigue bien menée, personnages travaillés, ville décrites dans toute sa tristesse... C'est donc prometteur pour Laurent Martin... Il ne lui reste plus qu'à confirmer son talent

Dans l'OURS POLAR, également une interview. Pour trouver cette revue : contact@ours-polar.com


ROMANPOLICIER.COM - Mars 2002

Intéressante la forme, à la manière de la tragédie grecque, qui permet l’installation du thème et la lente progression vers la crise et sa résolution. J’aime assez le Héros, le Chœur, le Coryphée qui donne une bonne scansion à l’intrigue et un rythme soutenu.
C’est une tragédie moderne où, comme dans le modèle grec, le Héros n’est pas un tout puissant Rambo, mais le jouet de ses démons et du destin : Héros aveugle, destin cruel, notables minables, impuissants ou pervers.
C’est bien écrit. Le trio, Chœur, Coryphée, Héros, permet de passer de la 1ère à la 3ème personne, voire de tutoyer les protagonistes et les prendre à partie. Comment ne pas tirer son chapeau à ce : « Je me souviens vaguement de quelques cauchemars pleins de carnavals tristes et de chagrins radieux ». Belle manière de revenir sur terre un lendemain de beuverie.
J’ai aimé.


VAL-MAGAZINE - Printemps 2002

Le roman noir d'une Marne-la-Vallée fictive...

Polar sombre et ironique.[ ] L'ivresse des dieux est une galerie de portrait où tout le monde se croise sans se voir [ ] et l'auteur, citoyen du Val-Maubué pendant 15 ans et aujourd'hui enseignant en Normandie, nous rappelle que la tragédie individuelle se perpetue chez l'homme depuis le nuit des temps.
Il y a ainsi dans ce roman des drames et des émotions, des âmes et de la déraison qui tournent autour d'une ville nouvelle aussi probable qu'imaginaire.


OUEST-FRANCE - Février 2002

Les éditions Gallimard viennent de publier son premier roman, un policier, "L'ivresse des dieux ", construit sur le schéma d'une tragédie grecque.

[...] Le héros (Max Ripolini), est un policier municipal intéressé par les arts. Même s'il s'agit d'un travail alimentaire, ce divorcé croit à son rôle social, bien que désabusé par le cadre désespérant de sa ville, une ville nouvelle fictive. Il vit avec son chien (que le narrateur fait penser, il a un rôle central). Sa bouée de sauvetage sera la résolution du crime de son ex-femme (premier d'une série), violée et assassinée, alors que cela ne fait pas partie de ses compétences professionnelles. [...] L'ivresse des dieux est un polar noir un peu tragique. Son originalité, c'est sa structure, une tragédie antique dans un monde contemporain. Il y a trois niveaux de narration: le héros, le coryphée, le choeur. L'alternance de ces différents intervenants rythme le récit écrit par un même auteur. Chaque paragraphe a un ton différent. Les dieux jouent-ils avec les hommes ? Le cadre est un Marne-la-Vallée, ville nouvelle, fictif. Ces cités modernes déshumanisent, le héros combat contre un monde. [...] Outre d'autres travaux, la suite de " l'ivresse des dieux " est en cours de rédaction.


MAUVAISGENRES.COM - Février 2002

Ce roman « de Marne la vallée » comme le « vend » l’Editeur est une particularité du genre. En effet il est construit comme une tragédie Grecque, le « déroulement »est rapporté tour à tour par le Héros, le Chœur et le Choryphée (personnage qui s’extrait du chœur et commente l’action). Ces trois points de vues densifient l’histoire de Max l’Ilotier de la police municipale de Marne la Vallée. Un meurtrier cumule les crimes dans la ville jusqu’au jour ou c’est l’ex-copine de Max qui est retrouvée morte. Celui-ci, malgré son alcoolisme qui l’amène même à renverser des piétons, prends à cœur l’enquête.
Le personnage, de par les multiples éclairages, est vraiment intéressant. « L’Ivresse des dieux » est un roman noir « psychosocial » où Laurent Martin, prof de lycée professionnel de son état, fait, déjà, ses preuves d’écrivain (de qualité) dans ce premier roman. L’atmosphère n’est pas sans rappeler le Bon « Franconville Bâtiment B » de Gilles Bornais paru lui aussi dans la nouvelle mouture de la série noire. «L’Ivresse des dieux » est simple et urbain, féroce et violent. Un premier roman qui est une réussite.

Arnaud Servant

Difficile de ne pas faire le rapprochement avec Franconville : même époque, même cadre : une banlieue qui ne brûle pas, dont on ne parle jamais aux infos, et où on s'emmerde en silence. Une banlieue quand même petit à petit rongée par une lèpre comme dit Laurent Martin, lèpre de l'indifférence, de l'individualisme, du repli sur soi, de la médiocrité, du manque de passion ou d'intérêt pour quoi que ce soit, si ce n'est le fric, et encore. Comme Franconville.
La différence c'est qu'ici il y a un Serial Killer, l'action est donc plus violente que dans Franconville, mais le constat est le même, désespérant.
J'avoue avoir eu du mal à accrocher en début de roman, la construction selon les canons de la tragédie Grecque m'ayant gêné par le coté "artificiel" qu'elle introduit dans le récit. Puis je me suis fait prendre, et tout a semblé de nouveau totalement "naturel". Donc un conseil à ceux qui pourraient être déroutés : persévérez, ça en vaut la peine.

J-Marc Laherrère.

 

SUR LE WEB

France-Inter / Philanthropolar / Eric Yung : !

La dédicace de France-Inter.

Une page de présentation mise au net par mauvaisgenres.com, le site du roman policier et de la science fiction en bibliothèque ainsi que les critiques rédigées sur L'ivresse des dieux.

Un autoportrait mis au net par romanpolicier.com, le site du polar francophone.

 


Pour acheter ce livre, rien ne vaut une bonne librairie. Mais si vous n'en avez pas, vous pouvez le commander en ligne

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